Quelques questions en rapport avec la séance précédente et potentielles pr l'examen :
Quelles sont les causes profondes de la grande dépression ? (attention à ne pas parler que du Krach boursier)
Quel est l'ampleur du désastre ? Qu'est-ce qui permet d'analyser l'ampleur ?(éléments d'analyse : manifestations, chute de la production, des prix, des profits, effondrement du PIB, augmentation du chômage, des faillites,...)
Expliquer pourquoi la grande dépression est un crise particulière pa rapport aux cirses précédentes et ultérieures. (reprendre : taux de chômage élevé, première fois qu'on remarque le syst capitliste bloqué)
Quelles sont les raisons qui expliquent le décalage conso/production à l'origine de la grande dépression ? (surproduction, plus importante rémunération du capital que du travail, augmentation des inégalités,...)
Quelle est la part de responsabilité des USA dans le déclenchement et la prolongation de la grande dépression/crise ?
3. Le krach boursier et le délcenchement de la crise aux USA.
Le contexte de l'activité boursière
Le délcenchement de la crise
De la crise boursière à la crise économique
Quelques mots du contexte dans lequel l'activité boursière aux USA se passe :
> 3 caractéristiques à retenir
Longue période de croissance continue, de dividendes et du cours des actions (gains enregistrés par les industries américaines : liés à la reprise et dvlpmnt des industries de la deuxième révolution industrielle). Cette longue hausse va augmenter la spéculation boursière.
La manière dont les capitaux sont mobilisés. Ceux qui investissent en bourse (les courtiers agissant en leur nom ou captant l'épargne des américains) pour constituer des porte-feuilles d'actions. Les courtiers emrpuntent (aux bq d'affaires ou bq de dépôts) également pour spéculer en bourse. Ces américains empruntent sans nécessairement savoir rembourser par après. Bcp trop d'actions sont achetés à crédit.
Ralentissement de l'économie. Les sociétés n'investissent pas et placent en bourse les sommes qu'en tps normal elles auraient investi dans la modernisation de l'outil. Les capitaux américains ont tendance à revenir vers les USA et de même pour la bourse de NY (car taux d'intérêt bcp plus intéressants).
>> baisse rentabilité et profits des actions entraînent la baisse des dividendes des actions (sa valeur monte mais le rendement diminue) > c'est signe de bulle spéculative
Les autorités prennent une mesure pour décourager la spéculation : relever les taux d'inéterêts (donc diminuer les possibilités de crédit). Certains considèrent que c'est cela qui a causé la catastrophe. La BC américaine a mis un frein à la pol de crédits facile sur laquelle reposait l'éco boursière (USA et EU) et à la consommation.
Krach débute le 23 octobre. 13 millions d'actions offertes à la vente. Ces actions ne trouvent pas d'acheteurs. La valeur des action va s'éffondrer d'heure en heure. Les autorités essaient de réagir en absaissant les taux d'escompte pr éviter la chute. Mais rien n'y fait, et le krach continue le jour suivant. Le DOW-JONES perd (trèsbcpsalo)% en deux mois. Les niveaux de septembre 29, ne seront retrouvés qu'en 54.
Impact du Krach sur l'économie américaine ? (p.86 du syllabus)
Provoque la déstruction du système de crédit sur lequel reposait l'éco USA et l'éco Mondiale.
Pourquoi ?
En raison de l'effet du Krach sur les banques (système très anarchiques désorganisés de bq de dépôts (drainer l'épargne et fr du crédit aux particuliers) et de bq d'affaires (ressources constituées de dépôts à lg terme servant aux financements de l'industrie)). Les banques avaient acheté des actions et avaient prêté l'argent au courtiers/particuliers en acceptant que ce soit les actions qui servent de garantie à ces prêts. Enorme destruction de valeur consécutive au krach boursier va avoir des effets catastrophiques sur les bq. Elles se retrouvent ac un tas de prêts dont les bénéficaires sont incapables de rembourser (actions qui ne valent plus rien). Durant les 3 années qui nsuivent le krach boursier, la moitié des bq USA vont fr faillite (de 24000 à 12000 bq en 1932). les bq qui subsistent doivent fr face à des pertes, mais aussi à des demandes de retrait faites par des déposants totalement en panique
Les bq doivent donc compenser les pertes et diminuer les crédits qu'elles accordent et ne par reconduire les prêts arrivés à échéance. Mécanisme infernal qui se met en route : assèchement du moyen de paiement à des impacts sur l'éco USA mais aussi sur l'URSS.
// avec la crise de 2008 :
Maintenant on sauve les bq, mais on n'a pas sauvé les compagnies d'assurance. La plus grande diff c'est la réponse apportée à la crise (énormes efforts par les BC > intérêts planchers et prêteurs de dernier recours).
Conséquences du Krach :
Décalage conso/prod et baisse des investissment + problèmes agricoles. Là dessus arrive le krach ( conséquence : faillite des bq et ruine d ela classe moyenne) et crée la misère de salo de certaines entreprises (chômage). Entraine une chute de la consommation (système basé sur l'achat à crédits, les bq ne font plus de crédit, donc pas de conso). Ruine de la classe moyenne : ils perdent une partie de leur patrimoine. Chômage partiquement pas indemnisé et pas assuré contre le chômage. Dès le crédit est épuisé ici ou là, ils n'ont plus d'argent. Chute de la conso contribue à la faillite des entreprises. Le système semble avoir atteint un point de non-retour (cercle vicieux) et bloquage de l'éco aux USA. Dans les 2 ans, les répercutions seront visibles partout dans le monde, SAUF aux USA.