Huis Clos

Huis Clos est une pièce française existentialiste 1944 par Jean-Paul Sartre. La pièce est la source de la citation célèbre de Sartre « L'enfer, ce est les autres. » La pièce est une représentation de vie après la mort dans lequel trois personnages défunts sont punis en étant enfermés dans une chambre ensemble pour éternité. Les trois âmes damnées, Joseph Garcin, Inès Serrano, et Estelle Rigault, sont enfermés dans la même chambre dans l'enfer par un Valet mystérieux. Tous avaient prévu appareils de torture pour les punir pour l'éternité, mais ils ont plutôt trouvé une chambre simple meublée dans le style du Second Empire français.
Quand Garcin est conduit dans la chambre, il est confus au sujet de ce qui se passe. Ce n’est pas ce que l'enfer Garcin imaginait et il n'a pas totalement accepté sa mort, donc il essaie d'ouvrir la porte. Dès qu'il renonce à ouvrir la porte et s’assied, la porte est ouverte. Le Valet apporte une femme nommée Inez, qui pense immédiatement que Garcin est un tortionnaire parce qu'elle prétend de savoir comment tortionnaires regardent. Elle explique aussi qu'elle n’aime pas les hommes. Dépit sa froideur, Garcin essaie de faire la paix avec Inez, expliquant qu’il faut être courtois à l'autre dans leur situation. Le Valet rentre suivie par Estelle et Inez prend instantanément d'affection pour elle, Inez proposant de changer canapés avec elle et souhaitant qu'elle ait des fleurs à lui donner. Estelle vient de mourir de pneumonie. Inez lui demande si Estelle a souffert et elle a dit non, qu'elle n’était consciente. La même chose vaut pour les deux autres: Inez étouffé dans son sommeil d'une cuisinière à gaz qui fuit et Garcin a été abattu par un peloton d'exécution.
Ils commencent à se demander pourquoi ils ont été placés ensemble. Inez affirme que rien n'a été laissé au hasard. Elle pense que la chambre a été créée en pensant à eux. Estelle est choqué par la notion de Inez que les trois d'entre eux ont été placés ensemble pour torturer l'autre. Garcin suggère qu'ils devraient confessent ce qu'ils faisaient, ils peuvent comprendre ce qui se passe. Estelle affirme qu'une erreur a été commise. Elle a épousé un homme qu'elle n’aime pas, mais a refusé de le tromper. Les deux autres fait d'accord qu'elle n'a pas péché. Garcin dit qu'il est mort défendre pour ses principes, il affirme qu'il a couru un journal pacifiste et refusé de se battre quand la guerre a éclaté. Mais Inez déclare qu'ils devraient tous cesser de mentir à l'autre, expliquant qu'ils sont tous âmes damnées qui méritent d'être en enfer.
Inès refuse de croire qu'ils ont tous fini dans la salle par accident et se rend compte qu'ils ont été placés ensemble pour faire de l'autre misérable. Elle découvre qu'ils sont tortionnaires des uns des autres. Ces caractères torturent l'autre parce qu'ils sont capables de réfléchir un des autre mieux que n’importe quel miroir. Ils torturent les uns les autres parce qu'ils sont ce qu'ils ne peuvent pas avoir. Inez veut Estelle, qui veut Garcin, qui accepte plus avec Inez, alors un gros triangle amoureux malheureux est créer. Il est impossible d'échapper à l'autre et il n'y a pas échappé à la vérité. Garcin suggère qu'ils devraient essayer de laisser l'autre seul en étant silencieux, mais Inès commence à chanter à propos de l'exécution et Estelle veut en vain de trouver un miroir pour vérifier sur son existence. Inès tente de séduire Estelle en proposant d'être son «miroir» en lui disant tout ce qu'elle voit, mais finit par l'effrayer la place. Il est vite évident que Inès est attiré par Estelle, Estelle est attiré Garcin, et Garcin n’a pas d'humeur pour un comportement sexuel. Voila le triangle. Après argumenter, ils décident d'avouer leurs crimes afin qu'ils sachent à quoi se attendre de l'autre. Garcin trompé et maltraité sa femme; Inès séduit la femme de son cousin tout en vivant avec eux; elle explique aussi qu'elle aime rendre les gens vulnérables souffrent. Son amant a tué les deux en laissant le gaz pendant qu'elles dormaient. Après avoir refusé de reconnaître qu'elle a fait quelque chose de mal, Estelle confesse enfin d’avoir triché sur son mari et de tomber enceinte. Elle se enfuit en Suisse pour avoir le bébé et le noyé juste avant les yeux de son amant. Son amant, puis s’est tiré dans le visage. Dépite leurs révélations, ils continuent d’être sur les nerfs de chacun. Inès reconnaît que l'attractivité du Estelle sera la torturer pour l'éternité et qu'ils sont tous dans une trappe bien aménagé. Mais, elle refuse la sympathie des autres et insiste sur le fait qu'elle veut faire face à l'enfer sur ses propres termes. Garcin donne enfin aux tentatives d'Estelle pour le séduire, qui entraîne Inès fou. Garcin est constamment interrompu par ses pensées et il demande à Estelle pour lui dire qu'il ne est pas un lâche pour avoir tenté de fuir son pays en temps de guerre. Même si elle est conforme, Inès lui dit qu’Estelle est juste feint attirance pour lui, afin qu'elle puisse être avec un homme.
Ceci entraîne Garcin pour tenter de se échapper. Après il essaye d'ouvrir la porte à plusieurs reprises, il est ouvert de façon inexplicable et tout à coup, mais Garcin est incapable de se résoudre à quitter, et les autres restent ainsi. Il dit qu'il ne sera pas sauvé jusqu'à ce qu'il convaincre Inès à avoir confiance en lui. Elle refuse, disant qu'il est de toute évidence d’un lâche, et promettant de faire misérable toujours. Garcin conclut que plutôt que de dispositifs de torture ou la punition physique, "l'enfer ce est les autres." Estelle essaie de persévérer dans sa séduction de Garcin, mais il dit qu'il ne peut pas faire l'amour tandis Inès regarde. Estelle, furieux, ramasse un coupe-papier et poignarde répétée Inès. Comme ils sont tous déjà morts, cette attaque ne fait rien et Inès se poignarde même, commencer à rire. Estelle commentaires sur l'idée de leur être coincé ici pour toujours et rit aussi, tous les trois se joindre à rire avant Garcin conclut enfin, "Eh bien, continuons".