LA RAFLE
Dans le texte, il s’agit d’une femme nommé Hélène qui vit à Paris avant et pendant la seconde guerre mondiale. Au début de la nouvelle, elle s’occupe tout le temps d’elle-même, de sa propre existence et de son apparence. Mais pendant l’histoire, elle change radicalement. Avant, elle avait une liaison d’un homme nommé Jean, mais ils ne sont plus un couple d’amoureux car Jean a choisi la route de solidarité sur la route d’amour. Maintenant il est chef dans la Résistance. Au contraire de lui, Hélène aime rester à la maison avec les rideaux tirés dans la journée. Elle s’est enferme de la vie, de la réalité. Elle vit comme une morte. Un jour, en faissant ses ongles, sa copine Yvonne entre dans l’appartement avec un drôle d’air. Elle est Juive et elle raconte à Hélène qu’on est en train d’embarquer touts les Juifs. Hélène a pris peur et elle n’en pas croit ses oreilles. Yvonne demande à Hélène, si elle pourra lui faire le plaisir d’aller voir sa mère, puisqu’elle ne peut pas le faire elle-même. Hélène y va tout de suite, et entre-temps Yvonne va essayer d’aller se cacher temporairement dans une église, jusqu'à elle a eu une chance pour partir pour l’étranger. Dans la rue, Hélène voit pleine de choses qui la laisse mal à l’aise. Pour la première fois depuis longtemps elle commence à voir la réalité en face. La pense qu’elle vernissait ses ongles pendant ils embarquaient les Juifs lui donne honte. Quand elle arrive à la maison de la mère d’Yvonne elle entend beaucoup de bruit. Au milieu de l’escalier, elle passe devant un agent qui a serré un bébé dans ses bras. Il semble penser d’embarquer un bébé n’a ni rime ni raison bienqu’il soit Juif. Enfin, Hélène arrive à l’appartement de la mère. Il y a des agents qui lui posent beaucoup de questions et aussi des questions d’Yvonne, mais Hélène les dit qu’elle ne sais rien d’elle. La mère d’Yvonne seulement pense à elle-même, comme Hélène au début. Finalement les agents quittent la maison. La mère a eu de la chance car ils ont pris pitié d’elle parce qu’elle a un malade mental. Puis Hélène dit à la mère qu’elle vais s’occuper d’elle et qu’elle va revenir ce soir. Elle essaie de l’apaiser. Sudain Hélène voit la réalité en face tout à fait. Elle se réveille. En route pour l’église dans laquelle Yvonne se cache, elle s’arrête dans une place de marché pour regarder les Juifs qui sont en train d’être chassés aux voitures en Pologne. Il y a une petite fille nommé Ruth qui sera séparé de sa mère et cela produit une impression profonde sur Hélène. Hélène ne sais pas que faire, elle reste là debout comme une paralysée. Ainsi elle commence à penser qu’elle en a eu assez d’être au monde sans faire une différence.
Hélène revient à l’église pour aller voir si Yvonne a bon courage. Elles se parlent un temps et Hélène explique la situation à la maison de la mère avec les agents à Yvonne. Hélène lui donne son ours pour l’égayer. Après elle va aller voir Jean car il se peut qu’il peut aider Yvonne à se réfugier à l’étranger parce qu’il est dans la Résistance. Au moment où Hélène vient à la maison de Jean elle devient très impressioné et révolté par toutes les impressions qu’elle a eu et par tout qu’elle a vu pendant la journée. Jean lui fait bon accueil et ils discourient des possibilitiés d’Yvonne. Sudain elle dit qu’elle veut rejoindre la Résistance, et elle prend aussi elle-même à l’improviste en le disant mais elle tient sa parole. Pendant l’histoire Hélène a obtenu une prise de conscience. Peu à peu elle réalise l’essentiel dans la vie. Aussi Jean prend bonne note de son changement. Enfin Hélène accepte touts les scrupules à rejoindre la Résistance. Elle l’assure qu’elle doit se taire, bien qu’elle soit torturé des Allemands. Elle est toujours amoureuse de Jean, et à la fin où elle lui a dit discrètement qu’elle l’aime toujours, elle s’en va au lieu de rester attendre la réponse. Soudain l’avis des autres n’est plus de la plus haute importance pour elle. Avant, elle n’avait pas d’existance, elle n’a rien fait. Et maintenant où elle a changé, elle a commencé à vivre...