...Juan Carlos González | | Peter Zeta | | Wilfredo Velásquez | 1320-13-3126 | Daniel Carias | 1320-13-3122 | CASO DISNEY SINTESIS: dfjdkfdjkfdjkdf 1. Considere la efectividad de Disney en términos de los tres dominios de liderazgo, el líder, los seguidores y la situación. Para cada dominio mencione factores que contribuyeron al éxito de Disney. El líder: Walt Disney se centraba en poder obtener de sus seguidores innovación, creación con alta calidad constantemente, los alentaba a realizar sus actividades de la mejor forma. Walt ponía como fin el éxito no económico de lo que emprendía si no como la empresa que mejores creaciones cinematográficas ofrecía al público, de la misma forma ocurría con la visión que tuvo con el parque de diversiones en donde prevalecía la calidad de servicio con base al aporte que sus seguidores podrían dar para ofrecer el mejor servicio. Los seguidores: Estas personas veían en Walt a quién podía guiarlos en sendas del éxito, reconociendo el trabajo que realizaban, ellos veían que la entrega y el mejor esfuerzo era encausado a un fin en común en donde se sentían cómodos e importantes cumpliendo con los objetivos que Walt trazaba. De esta forma los seguidores veían que su trabajo era importante y sobre salía de los demás, eran los que fijaban el ritmo de los cambios y especialidades de la cinematografía. La situación: Walt y Roy iniciaron a crear la empresa Disney, ambos con visiones distintas y complementarias, del lado de Walt la visión era...
Words: 616 - Pages: 3
...qwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmrtyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmrtyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmrtyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmrtyuiopasdfghjklzxcvbnmqwer...
Words: 1224 - Pages: 5
...Jane Austen Persuasion BeQ Jane Austen Persuasion roman Traduit de l’anglais par Mme Letorsay La Bibliothèque électronique du Québec Collection À tous les vents Volume 708 : version 1.0 2 De la même auteure, à la Bibliothèque : Catherine Morland Orgueil et préjugés 3 Persuasion Édition de référence : Paris, Librairie Hachette et Cie, 1882. 4 I Sir Walter Elliot, de Kellynch-Hall, dans le comté de Somerset, n’avait jamais touché un livre pour son propre amusement, si ce n’est le livre héraldique. Là il trouvait de l’occupation dans les heures de désœuvrement, et de la consolation dans les heures de chagrin. Devant ces vieux parchemins, il éprouvait un sentiment de respect et d’admiration. Là, toutes les sensations désagréables provenant des affaires domestiques se changeaient en pitié et en mépris. Quand il feuilletait les innombrables titres créés dans le siècle dernier, si chaque feuille lui était indifférente, une seule avait constamment pour lui le même intérêt, c’était la page où le volume favori s’ouvrait toujours : Famille Elliot, de Kellynch-Hall : 5 Walter Elliot, né le 1 mars 1760 ; épousa, le 15 juillet 1874, Élisabeth, fille de Jacques Stevenson, esquire de South-Park, comté de Glocester, laquelle mourut en 1800. Il en eut : Élisabeth, née le 1 juin 1785, Anne, née le 9 aoust 1787, Un fils mort-né le 5 novembre 1789, et Marie, née le 20 novembre 1791. er er Tel était le paragraphe sorti des mains de l’imprimeur ;...
Words: 47759 - Pages: 192
...1 DU MÊME AUTEUR Aux éditions Julliard Les agneaux du seigneur, 1988 (Pocket, 1999) À quoi rêvent les loups, 1999 (Pocket, 2000) L’écrivain, 2001 (Pocket, 2003) L’imposture des mots, 2002 (Pocket, 2004) Les hirondelles de Kaboul, 2002 (Pocket, 2004) Cousine K, 2003 (Pocket, 2005) La part du mort, 2004 (Folio, 2005) L’attentat, 2005 (Pocket, 2006) Les sirènes de Bagdad, 2006 (Pocket, 2007) Chez Folio Morituri Double Blanc L’automne de chimères Chez Après la lune La rose de Blida 2 Page Titre YASMINA KHADRA CE QUE LE JOUR DOIT À LA NUIT roman Julliard 24, avenue Marceau 75008 Paris © Éditions Julliard, Pans, 2008 ISBN 978-2-260-01758-5 3 « À Oran comme ailleurs, faute de temps et de réflexion, on est bien obligé de s’aimer sans le savoir. » Albert Camus, La Peste. « J’aime l’Algérie, car je l’ai bien ressentie. » Gabriel García Márquez 4 I. Jenane Jato 5 1 Mon père était heureux. Je ne l’en croyais pas capable. Par moments, sa mine délivrée de ses angoisses me troublait. Accroupi sur un amas de pierraille, les bras autour des genoux, il regardait la brise enlacer la sveltesse des chaumes, se coucher dessus, y fourrager avec fébrilité. Les champs de blé ondoyaient comme la crinière de milliers de chevaux galopant à travers la plaine. C’était une vision identique à celle qu’offre la mer quand la houle l’engrosse. Et mon père souriait. Je ne me souviens pas de l’avoir vu sourire ; il n’était pas dans ses habitudes de laisser transparaître sa satisfaction – en avait-il...
Words: 114968 - Pages: 460