...Contexte général Un environnement extrêmement volatile marqué par l’incertitude sur les évolutions probables à l’avenir Une crise internationale majeure : 25.000 milliards de dollars engloutis dans la débâcle boursière, 1.400 milliards de dollars de pertes dans les bilans bancaires dues aux dépréciations d’actifs, Un plan de sauvetage du système bancaire de 700 milliards de dollars aux USA (plan Paulson) alors que les créances douteuses s’élèvent à 60 000 milliards de dollars, Une recapitalisation des banques européennes de l’ordre de 550 milliards d’euros. Des crises financières de plus en plus rapprochées L’élément déclencheur La crise des subprimes est considérée comme l’élément déclencheur de la crise économique. Avec des mécanismes tels que: En 2003/2004 baisse des taux d’intérêts par la FED Distribution agressive de prêts Augmentation des achats immobiliers à crédits Nombreux prêts à risque : « Une maison prend toujours de la valeur » On assure le crédit grâce à l’hypothèque. Ces créances sont transformées en produits financiers. Ces produits financiers sont introduits en bourse et vendus à des investisseurs privés. Pour attirer les investisseurs ces produits sont assurés. En 2006 ralentissement de la croissance du marché immobilier. Les hypothèques ne garantissent plus les emprunts. Les emprunts ne sont plus remboursés Les investisseurs s’affolent Les assurances n’ont pas les fonds pour...
Words: 1159 - Pages: 5
...méthodologie de notation Conflits d’intérêts Manque de gouvernance 4 Lacunes dans la gouvernance d’entreprises (manque de connaissance des directions bancaires sur de nouveaux produits) Systèmes de rémunérations incitant les prises de risque excessifs Peu d’attention portée à la liquidité des marchés Autorités de réglementation trop focalisées sur la surveillance microprudentielle et pas assez sur les risques macrosystémiques Crise financière Conditions de marché 5 Procyclicité Intensification des problèmes de liquidité Manque de transparence sur le marché Crise de confiance Constats Sous-estimation de certains risques et surestimation de la capacité à les gérer Illusion du soulagement de la diffusion du risque par la titrisation Modélisation trop basée sur des historiques de données récents et des bonnes conditions de marché incapacité à réagir face à des chocs extrêmes Préconisations Augmenter les exigences en fonds propres (notamment en période de conjoncture économique favorable) Utilisation quasi-exclusive des modèles de risques internes Modèles, méthodologies et nouveaux produits financiers complexes parfois peu assimilés par les membres des conseils d’administration Accorder une plus grande importance au jugement humain et veiller à une meilleure...
Words: 571 - Pages: 3
...* Annexes Annexes I I. Grille de Notation des agences Moody's, Fitch et S&P I II. Principales acquisitions des trois grandes agences depuis 2000 II III. Accords de Bâle II - Pondération des actifs bancaires III IV. Grèce : Décisions des instances internationales et impact sur le taux à 10 ans IV V. Répartition des notations souverains par catégorie et par répartition géographique V VI. Evolution du Résultat Opérationnel des 3 grandes agences VI VII. Nombre d'émetteurs corporate notés par Moody's par catégories de note VII VIII. La crise de la dette expliquée aux nuls VIII IX. Les agences de notation decryptées XIV Grille de Notation des agences Moody's, Fitch et S&P Moody's | S&P | Fitch | | | Long Terme | Court Terme | Long Terme | Court Terme | Long Terme | Court Terme | Signification de la note | Catégories | Aaa | P-1 | AAA | A-1+ | AAA | F1+ | Prime | INVESTISSEMENT | Aa1 | | AA+ | | AA+ | | High Grade | | Aa2 | | AA | | AA | | | | Aa3 | | AA- | | AA- | | | | A1 | | A+ | A-1 | A+ | F1 | Upper Medium Grade | | A2 | | A | | A | | | | A3 | P-2 | A- | A-2 | A- | F2 | | | Baa1 | | BBB+ | | BBB+ | | Lower Medium Grade | | Baa2 | P-3 | BBB | A-3 | BBB | F3 | | | Baa3 | | BBB- | | BBB- | | | | Ba1 | / | BB+ | B | BB+ | B | Speculative | SPECULATIF | Ba2 | | BB | | BB | | | | Ba3 | | BB- | | BB- | | | | B1 | | B+ | | B+ | | Highly Speculative | | B2 | |...
Words: 2971 - Pages: 12
...« subprimes » aux crédits hypothécaires accordés à taux d’intérêt variables à des ménages américains peu solvables, pour financer l’acquisition de leur logement. Pourtant, ces crédits ne sont que le premier maillon d’une chaîne au long de laquelle on retrouve les principales innovations financières des vingt dernières années. En effet : - Ces crédits, souvent accordés par des organismes spécialisés, mais aussi des banques, sont ensuite titrisés, par le biais d’une structure ad hoc : un fonds commun de créance. En d’autres termes, ce crédit bancaire par nature illiquide et non négociable sur un marché financier va précisément être transformé en un actif négociable et liquide par les vertus de cette technique financière sophistiquée de la titrisation, apparue aux Etats-Unis dans les années 80s. - Pour financer l’acquisition du portefeuille de crédits hypothécaires préalablement réunis afin d’être titrisés, le fonds commun de créances draine des ressources par émission...
Words: 4316 - Pages: 18
...Résumé, définition et explications de la crise des subprimes 10/17/12 7:52 PM Tulipe Media Blog médias, agence, publicité 9 sites édités, 15 blogueurs, 7 clients depuis 2012 Accueil Publicité Services Portfolio Nous connaître Contact Résumé, définition et explications de la crise des subprimes Posté dans:Finance | By: David Galland | 18 septembre 2012 | 162 vues Accueil » Homepage » Finance » Résumé, définition et explications de la crise des subprimes Categories Annonces & Veille Blogging Buddypress Business Communication Corporate news Etudes Facebook Vous ne le saviez peut-être pas, mais pendant que vous étiez en train de vous « dorer la pilule » sur une plage, nous avons « célébré » le cinquième anniversaire de ce qui, espérons le, sera la pire crise économique du siècle. En effet, c’est le 9 août 2007 qu’éclatait, avec pertes et fracas, la bulle des « subprimes » aux Etats-Unis avec les conséquences que l’on connait. Cet Etats-Unis, anniversaire est une bonne occasion de jeter un coup d’œil dans le rétroviseur, afin comprendre comment on en est arrivé là et surtout de voir ce qui a changé en cinq ans. Finance Graphisme Médias sociaux RH SEO Vie pro Wordpress Subprimes : définition et résumé Les subprimes c’est trop génial ! C’est sans doute ce qu’ont dû se dire les banques américaines au milieu de la décennie précédente. En effet, la croissance du marché de l’immobilier était tellement formidable que les institutions financières...
Words: 1914 - Pages: 8
...Supplément au numéro du 26 janvier 2007 Ne peut être vendu séparément Directeur de la Publication : Fadel Agoumi En partenariat avec La Bourse de Casablanca La Bourse de Casablanca souhaite la bienvenue aux entreprises qui se sont introduites en 2006 pour financer leur développement. Le Guide de la Bourse Edito L’ investissement en Bourse reste, hors période de spéculation, un placement à long terme. Sur un horizon de placement de vingt ans, les actions n'ont jamais enregistré de rendement négatif, contrairement aux obligations et aux autres instruments de placement. Cela a été largement prouvé au point de devenir aujourd'hui une évidence. Sur des périodes plus courtes, la rentabilité de vos investissements dépendra plus de votre degré de connaissance des marchés, de votre capacité à identifier et à saisir les opportunités de placement et, enfin, du respect d'un certain nombre de règles. Pour investir en Bourse, il ne faut pas seulement avoir de l'argent : il faut également avoir du temps. Et du temps, il faut en avoir aussi pour lire ce guide que nous avons conçu, en partenariat avec la Bourse de Casablanca, dans le but de pallier le vide en matière de vulgarisation des concepts boursiers. Nous l'avons segmenté en onze chapitres que nous avons voulu aussi clairs et précis les uns que les autres. L'ambition de ce guide est de vous permettre de connaître la structure et les acteurs du marché boursier, de comprendre les valeurs mobilières et d'apprendre...
Words: 31115 - Pages: 125
...[pic] Remerciement et Dédicace Introduction 2 PARTIE N°1 : PRESENTATION GENERALE DE LA BMCI 1) Le secteur bancaire…..................................04 2) La crise financière mondiale et ses effets sur les banque.............05 3) Historique de la BMCI 09 4) La fiche technique de la BMCI 14 5) Organigramme de la BMCI en septembre 2008 15 6) Organigramme de l'agence BMCI TIZNIT 16 7) L'organisation des tâches 16 8) Les principaux produits commercialisés par la BMCI 17 PARTIE N°2 : DESCRIPTION DES DIFFERENTS TRAVAUX EFFECTUES 1) Service Caisse 26 2) Service Remises des chèques et LCN 29 3) Service Back Office 29 4) Service Clientèle 30 5) Les travaux de fin de journée 31 6) La gestion des chéquiers et des cartes 31 7) Autres travaux effectués 32 Conclusion 33 Index et bibliothèque 34 Annexes [pic] Tout d'abord, je tiens à remercier toute personne qui m'aidée de prés ou de loin, à réaliser ce modeste travail. Mes remerciements s'adressent spécialement à Mr. ARAJ Hassan, Directeur de l'agence BMCI TIZNIT, d'avoir accepter ma demande de stage, et à son soutien qui a contribué au bon déroulement de mon stage. J'aime également remercier à cette occasion, le personnel de l'agence qui m'a éclairés tout au long de la période de stage, à nommer en particulier : Ä Ä Mr. El Houssine BENDAHMOU Ä Mr. Mohamed Faissal IMARIREN Ä Mr. Khalid ARBANI Ä Mr. Abdellah ELMERABT Ä Mr. Mohamed ESSABIR Et mes profonds remerciements à mes chers formateurs : Ä Mme. Wafaa...
Words: 9933 - Pages: 40
...Compte rendu Commission des Finances, de l’économie générale et du Plan – Examen d’un rapport d’information sur les enjeux des nouvelles normes comptables (MM. Gaël YANNO et Dominique BAERT, Rapporteurs)......................................................................2 – Information relative à la Commission .....................................12 Mardi 10 mars 2009 Séance de 10 heures Compte rendu n° 66 SESSION ORDINAIRE DE 2008-2009 Présidence de M. François Goulard, puis de M. Didier Migaud Président — 2 — La commission des Finances, de l’économie générale et du Plan procède, en application de l’article 145 du Règlement, à l’examen du rapport de la mission d’information sur les enjeux des nouvelles normes comptables. M. Dominique Baert, rapporteur. Je tiens d’abord à remercier le Président de la commission des Finances et le Rapporteur général pour la confiance qu’ils nous ont accordée, à moi-même et à M. Gaël Yanno, en acceptant de nous confier ce rapport d’information. La comptabilité est souvent présentée comme une matière aride, technique, sans réelle portée. Pourtant, la comptabilité n’est pas qu’une technique. C’est aussi une norme. Or, une norme n’est jamais neutre ; elle porte en elle un jugement de valeur, et le choix d’une norme comptable, parce que celle-ci mesure in fine la richesse (celle de l’entreprise, de l’actionnaire, du pays…) emporte avec lui une certaine vision de l’entreprise, des rapports économiques et, au-delà, du modèle social...
Words: 5379 - Pages: 22
...Devoir 5D – Dossier de recherche |Article 1 : « La fabrique du consommateur endetté » | |Maxime Ouellet | |Relations, no 745, p. 16-17, décembre 2010 | |L’auteur, docteur en études politiques, enseigne à l’Université du Québec à Montréal. Sous l’impulsion de stratégies publicitaires | |sophistiquées, le crédit à la consommation intègre les ménages surendettés à la dynamique d’un développement aveugle, tout en instituant un | |rapport au monde particulier. | |« Vous êtes plus riche que vous ne le pensez. » | |Slogan publicitaire de la Banque Scotia, 2010 | |« La dévalorisation du monde humain va de pair avec la mise en valeur du monde matériel. » | |Karl Marx, Manuscrits de 1844 | |Les banques et les compagnies...
Words: 5852 - Pages: 24
...------------------------------------------------- Monnaie et finance I. Qu’est-ce que la monnaie ? A. Les fonctions de la monnaie John Hicks, économiste britannique du XXème siècle, Prix Nobel 1972, déclare : « la monnaie est ce qu’elle fait ». Ce que définit la monnaie, ce sont ses fonctions, définies par Aristote dans la Politique : * La monnaie est intermédiaire en échanges (elle permet les échanges). * La monnaie est étalon de valeur (on peut donner une valeur à un bien grâce à une quantité de monnaie : le prix). * La monnaie est réserve de valeur (on peut stocker la richesse sous forme monétaire). Selon Aristote, la monnaie va s’imposer car elle est plus efficace que le troc. Il explique cela en analysant la division du travail. Aristote pose une situation initiale où les familles vivent en autarcie (chacun consomme ce qu’il a produit), cela génère des problèmes économiques : la production de chaque famille doit égaler sa consommation. > Aristote introduit le troc entre les familles. Troc : échange marchand sans monnaie. Le troc crée aussi des difficultés économiques liées à la double coïncidence des besoins : pour réaliser des échanges, il faut trouver quelqu’un ayant des besoins symétriques (biens opposés, valeurs équivalentes). La monnaie s’impose car elle est plus efficace que le troc. Pour introduire une monnaie, il faut choisir une marchandise qui doit remplir trois conditions selon Aristote : * Elle doit posséder une valeur par...
Words: 7514 - Pages: 31
...BNP Paribas Dossier Banque N°1 TOURDOT Mickaël MSc Apprentissage 2011-2012 Dossier Banque N°1 Sommaire I) Stratégie du Groupe ..................................................................... P 3 a) Organisation et statut du groupe ........................................... P 3 b) Stratégie du groupe .................................................................... P 6 c) Chiffres clés du groupe............................................................... P 12 d) Notations du groupe ................................................................... P 13 e) Organisation du contrôle interne ........................................... P 14 f) Conclusion ..................................................................................... P 14 II) Focus sur la banque de détail .................................................. P 15 a) La Banque de Détail en France (BDDF)................................. P 16 b) BLC Banca Commerciale ............................................................ P 17 c) BeLux Retail Banking ................................................................. P 17 d) Europe Méditerranée .................................................................. P 18 e) BancWest ....................................................................................... P 18 f) « Personal Finance »................................................................... P 18 g) « Equipment Solutions »...........................................
Words: 6955 - Pages: 28
...PROBLEMES ECONOMIQUES CONTEMPORAINS Exam final: 4-5 questions de cours Chap 1 : Partage de la VA Chap 2 : Inégalités et pauvreté Chap 3 : Problèmes liés à l'environnement (20/01/12) CHAPITRE 1 : PARTAGE DE LA VALEUR AJOUTEE (VA) INTRO : Le problème du partage de la VA, est un problème où sont mis en exergue le rôle des agents économiques et surtout leurs rapports de force précisément nous étudierons les rapports de force entre 3 types d'acteurs : apporteurs de capital (AC) ou capitalistes, les dirigeants, et les exécutants. La lutte pour le partage de la VA va nous permettre de concevoir un mécanisme de détermination du montant des rémunérations des agents économiques (pas de rémunération à la productivité marginale). Nous aboutirons à un constat : les rémunérations dépendent des rapports de force entre les acteurs. D'autres éléments rentreront en ligne de compte, le fonctionnement du marché financier, le rôle de la BCE, l’état de crise d'un pays, tous ces éléments peuvent modifier les inégalités de partage de la VA. I. La richesse Le PIB est l'indicateur le plus utilisé pour mesurer la richesse d'un pays. Il existe plusieurs méthodes (méthodes de production (Y), revenu...) Parfois le PIB augmente pour des causes négatives = externalités négatives A) Définitions *VP (valeur de la Y d'un pays) : il s'agit du montant de ce qui a été effectivement produit (en valeur monétaire) durant 1 année (incluant les variations de stock) *Ci (consommations intermédiaires)...
Words: 12613 - Pages: 51
...El Aidi Sami Fonds alternatifs Projet de recherche en gestion d’entreprise Baccalauréat universitaire en gestion Fonds alternatifs El Aidi Sami Sous la direction du Professeur Tony Berrada Année académique 2010-2011 1 El Aidi Sami Fonds alternatifs Plan 1. 2. Introduction ........................................................................................................................ 3 Fond alternatif .................................................................................................................... 4 2.1. Définition ......................................................................................................................... 4 2.2. Organisation type d’un fond alternatif ........................................................................... 6 2.3. Historique ........................................................................................................................ 7 2.4. Réglementation actuelle en Suisse ................................................................................. 9 3. Instruments et techniques ................................................................................................ 10 3.1. Obligation ...................................................................................................................... 10 3.2. Action ............................................................................................................................ 11 3.3. Produits...
Words: 12521 - Pages: 51
...LE FRANC FORT options pour les entreprises, la politique monétaire et la politique économique Alois Bischofberger, Rudolf Walser, Boris Zürcher E DI D PIER PA O USSI SC N Le présent papier de discussion plaide pour une réserve extrême de la part de la Banque nationale sur le terrain des interventions monétaires. Pour l’heure, rien ne plaide pour l’abandon de la ligne actuelle d’une politique monétaire autonome s’appuyant sur la libre circulation des capitaux et un régime de changes flexibles – le système a fait ses preuves. Retenue également sur le front des interventions de politique économique, par exemple sous la forme d’un soutien public à certaines branches. Si, par contre, la forte pression à la hausse qui s’exerce sur le franc suisse devait continuer de s’accroître à la suite d’une dégradation de la situation dans la zone euro, entraînant une forte accentuation des tendances déflationnistes et récessives, ainsi qu’une chute abrupte de la compétitivitéprix des entreprises suisses, nous n’excluons pas qu’il soit opportun d’évaluer d’autres options, notamment celle, temporaire, d’un objectif de taux de change, qui impliquerait l’abandon, temporaire lui aussi, de l’autonomie de la politique monétaire. Il va sans dire qu’une telle décision devrait s’appuyer sur un examen minutieux des coûts associés à ce changement de régime. NOMBRE 02/ FÉVRIER 2011 Impressum: ©2011 Avenir Suisse Traduction: Renaud Moeschler Correctorat: Jean-Luc Babel Reproduction seulement...
Words: 13451 - Pages: 54
...Additionner les t alents ... démul tiplie les performances Groupe Banque centrale populaire Comptes consolidés aux normes IAS/IFRS au 31 décembre 2010 Groupe banque centrale populaire COMPTES consolidés aux normes IAS/IFRS 31 dÉcembre 2010 Le Comité Directeur du Crédit Populaire du Maroc et le Conseil d’Administration de la Banque Centrale Populaire se sont réunis le 14 Mars 2011, sous la présidence de Monsieur Mohamed BENCHAABOUN, pour apprécier l’évolution de l’activité et arrêter les comptes au 31 décembre 2010. Produit net bancaire : Résultat net consolidé : Fonds propres consolidés : Résultat net part du Groupe BCP : Bénéfice par action : Dividende proposé par action : 10,0 3,1 27,1 1,77 26,7 8,0 milliards de DH milliards de DH milliards de DH milliards de DH DH DH + 12,1 % + 6,0 % + 7,2 % + 66,6 % + 66,0 % + 33,3 % En 2010, le Groupe a affiché une bonne performance commerciale et financière qui confirme la pertinence de ses choix stratégiques et la vitalité de son modèle économique. 10 milliards de DH : + 12,1% Suite à une solidité récurrente de la contribution de l’ensemble des métiers aux résultats du Groupe, le produit net bancaire s’est établi à 10 milliards de DH en progression de 12,1%, avec une évolution satisfaisante de ses composantes : activité de marché +29,4%, marge sur commissions : +13,1% et marge d’intérêts : +11,1%. 8,96 10,05 2009 PRODUIT NET BANCAIRE PRODUIT NET BANCAIRE + 12,1% En milliards de DH COEFFICIENT...
Words: 22436 - Pages: 90